L'ail : à la veille de la saison
du rhume et de la grippe
Les encyclopédies de médecine naturelle attribuent à l'ail un nombre
impressionnant de vertus thérapeutiques. (1) J'en ai relevé plus de
150 ! A les croire, la consommation régulière d'ail pourrait :
- être efficace contre les bactéries résistantes aux antibiotiques ;
- réduire le risque de maladie cardiaque, dont l'infarctus et l'AVC ;
- normaliser la pression sanguine et le taux de cholestérol ;
- protéger contre plusieurs formes de cancer, dont le cancer du cerveau, du poumon et de la prostate ;
- réduire le risque d'ostéoarthrite.
En juin 2011, des chercheurs en nutrition de l'Université de Floride ont constaté que manger de l'ail pouvait augmenter le nombre de lymphocytes T dans le sang, d'importantes cellules immunitaires qui jouent un rôle essentiel pour combattre les virus.
Les pharmacologues de l'Université de Californie ont confirmé que l'allicine – l'ingrédient actif de l'ail qui contribue à la mauvaise haleine – avait des effets anti-infectieux.
Une étude australienne portant sur 80 patients, publiée en janvier 2013 dans la revue médicale European Journal of Clinical Nutrition, a rapporté qu'une alimentation riche en ail peut réduire la pression artérielle.
Les recherches ont montré enfin que, lorsque l'allicine est digéré dans votre corps, il produit de l'acide sulfénique, un composé qui réagit avec les radicaux libres dangereux. C'est donc un très bon aliment anti-âge. (la suite ci-après)
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