Les pilules : Pourquoi vouloir laisser les femmes
courir des risques?
Ce sont
les informations trompeuses et incomplètes,
qui mettent la vie de tant de
femmes en danger ??
La plupart du temps presque tous les médicaments
habituels, qui traitent un problème de santé, le rapport bénéfices/risques
correspond aux chances de guérir par rapport au risque d'effets secondaires.
Par exemple, si un médicament à 50 % de chance de soulager l'arthrose et 10 % de risque de donner mal à la tête, on jugera que le rapport bénéfices/risques est positif.
C'est le rôle d'une agence sanitaires de médicament d'éclairer le public sur ce point. Chacun peut ainsi choisir ses médicaments, sans dépendre de ce qu'affirme le fabricant.
Mais la pilule n'est pas un médicament comme les autres. !!!
Son but est d'éviter de tomber enceinte. Il ne s'agit donc pas de guérir une maladie. C'est un choix personnel, qui dépend du projet de vie de chacun.
Pourtant, l'Agence européenne des médicaments a déclaré: « Par rapport à l'avantage pour vous et votre partenaire de pouvoir vivre votre sexualité sans avoir d'enfant, cela vaut le coup d'augmenter votre risque de mourir d'une embolie ou d'un cancer. »
Mais de quoi je me mêle ???
Est-ce le rôle des bureaucrates de prendre ce type de décision à la place des femmes ?
Par exemple, si un médicament à 50 % de chance de soulager l'arthrose et 10 % de risque de donner mal à la tête, on jugera que le rapport bénéfices/risques est positif.
C'est le rôle d'une agence sanitaires de médicament d'éclairer le public sur ce point. Chacun peut ainsi choisir ses médicaments, sans dépendre de ce qu'affirme le fabricant.
Mais la pilule n'est pas un médicament comme les autres. !!!
Son but est d'éviter de tomber enceinte. Il ne s'agit donc pas de guérir une maladie. C'est un choix personnel, qui dépend du projet de vie de chacun.
Pourtant, l'Agence européenne des médicaments a déclaré: « Par rapport à l'avantage pour vous et votre partenaire de pouvoir vivre votre sexualité sans avoir d'enfant, cela vaut le coup d'augmenter votre risque de mourir d'une embolie ou d'un cancer. »
Mais de quoi je me mêle ???
Est-ce le rôle des bureaucrates de prendre ce type de décision à la place des femmes ?
Une prise de position politique et non scientifique
Cette prise de position
des Agences de santé médicaments ont le
mérite de mettre les choses au clair : cette agence joue un rôle
politique, et non scientifique.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Agence française du médicament, en août 2013, la baisse des ventes de pilules de 3e et 4e génération a été de 52,4 % par rapport à août 2012. Il y a donc péril en la demeure ! Il faut à tout prix persuader les femmes de reprendre leurs achats.
Pourtant les contre-indications liées aux pilules de la première à la quatrième génération sont connues et établies depuis parfois près de 20 ans !
D’après les derniers chiffres publiés par l’Agence française du médicament, en août 2013, la baisse des ventes de pilules de 3e et 4e génération a été de 52,4 % par rapport à août 2012. Il y a donc péril en la demeure ! Il faut à tout prix persuader les femmes de reprendre leurs achats.
Pourtant les contre-indications liées aux pilules de la première à la quatrième génération sont connues et établies depuis parfois près de 20 ans !
- Peut-être avez-vous suivi la plainte, largement relayée par les médias cet été, d'une jeune femme handicapée à 65% des suites d'un AVC liée à la pilule de 3e génération.
- L'Agence Internationale de Recherche sur le Cancer (IARC) considère la pilule cancérigène (1).
- L'Institut National de Lutte contre le Cancer aux Etats-Unis considère que la pilule augmente le risque de cancer du sein, du col de l'uterus et du foie (1).
- L'année dernière, une étude sur 1,6 millions de femmes publiée par le New-England Journal of Medicine a montré l'augmentation du risque d'accident vasculaire-cérébral et d'infarctus du pyocarde (crise cardiaque) quel que soit le type de pilule utilisé (1).
Si
l'Agence des médicaments se plaçait sur le terrain scientifique, elle vous
dirait : attention,
le risque de faire une embolie pulmonaire ou un cancer en prenant cette pilule
est nul, faible, important ou de X%. A
vous de voir si vous avez envie de courir le risque.
Elle informerait aussi le public des autres moyens de contraception, qui peuvent être tout aussi efficaces, plus pratiques, moins chers, et moins risqués pour la santé. Comme par exemple le stérilet, dont le coût est près de 100 fois moins cher pour une efficacité 10 fois supérieure et sans les risques et effets indésirables nombreux des pilules (1).
Prochainement on s’en tiendra aux moyens de contraception, et indiqué ceux qui sont sans danger pour la santé (ils existent et, rassurez-vous, il ne s'agit ni de la méthode Ogino, ni de la méthode des températures).
Elle informerait aussi le public des autres moyens de contraception, qui peuvent être tout aussi efficaces, plus pratiques, moins chers, et moins risqués pour la santé. Comme par exemple le stérilet, dont le coût est près de 100 fois moins cher pour une efficacité 10 fois supérieure et sans les risques et effets indésirables nombreux des pilules (1).
Prochainement on s’en tiendra aux moyens de contraception, et indiqué ceux qui sont sans danger pour la santé (ils existent et, rassurez-vous, il ne s'agit ni de la méthode Ogino, ni de la méthode des températures).
Bonus :
Mauvaise réputation : les hormones ont mauvaise presse. Elles sont pourtant des substances naturellement produites par l’organisme et indispensables au bon fonctionnement de votre corps, contrairement aux sucres, pesticides ou huiles transe.
Mauvaise réputation : les hormones ont mauvaise presse. Elles sont pourtant des substances naturellement produites par l’organisme et indispensables au bon fonctionnement de votre corps, contrairement aux sucres, pesticides ou huiles transe.
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